Le pape Léon XIV ressuscite une tradition vieille de 500 ans et surprend le Vatican : de quoi s’agit-il et pourquoi elle a rendu ses employés heureux ?

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• Une décision chargée de sens
• Un souffle nouveau au sein du Vatican

Le pape Léon XIV continue de marquer les esprits par ses choix inattendus. En ramenant à la vie une tradition disparue depuis cinq siècles, il offre aux employés du Vatican un moment de pause, de partage et de spiritualité. Cette initiative suscite enthousiasme et émotion dans les couloirs du Saint-Siège.

Le Vatican a connu une matinée pas comme les autres. Le pape Léon XIV, élu depuis moins d’un an, a surpris son entourage avec une décision inattendue. Il a décidé de rétablir une tradition oubliée depuis cinq siècles. Ce geste simple a pourtant marqué les esprits. Il a surtout redonné le sourire à de nombreux employés.

La tradition en question concerne une pause bien particulière. Chaque vendredi, à midi, les employés du Vatican auront droit à ce que les anciens appelaient la « pause bénie ». Ce moment consiste à interrompre le travail pendant une heure, partager un repas offert par le Saint-Siège et écouter une courte intervention spirituelle. Le tout dans un esprit de détente et de communion.

Cette coutume avait été abandonnée au XVIe siècle, sous la pression des réformes administratives. Depuis, elle n’avait jamais été remise en place. Jusqu’à aujourd’hui.

Une décision chargée de sens

Dès l’annonce officielle, les réactions ont afflué. Les employés ont accueilli la nouvelle avec enthousiasme. Certains n’ont pas caché leur émotion. D’autres ont salué un geste d’humanité et de proximité. Beaucoup y voient une volonté claire du pape Léon XIV : remettre l’humain au cœur de l’institution.

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Le pape lui-même a expliqué sa décision. Lors d’un discours au personnel, il a évoqué le besoin de « recréer du lien », dans un monde qui va trop vite. Il a aussi insisté sur la valeur du repos et du partage. Selon lui, les traditions ne doivent pas être vues comme des reliques, mais comme des ponts entre les générations.

Cette initiative ne se limite pas à un simple repas. Elle vise aussi à renforcer l’esprit de communauté. Chaque semaine, un invité différent animera un échange : théologiens, artistes, scientifiques ou encore responsables humanitaires. L’objectif est clair : nourrir le cœur autant que l’esprit.

Un souffle nouveau au sein du Vatican

Depuis son élection, le pape Léon XIV enchaîne les gestes symboliques. Mais celui-ci a touché une corde sensible. Il ne s’adresse pas à la foule ni aux caméras, mais à ceux qui font tourner les rouages du Vatican au quotidien.

Ce retour à une tradition oubliée rappelle aussi les premières années de l’Église moderne. À cette époque, les papes vivaient plus proches de leur entourage. Ils prenaient le temps d’écouter, de rire, de partager. Avec ce choix, Léon XIV cherche peut-être à retrouver cet esprit originel.

En quelques jours, l’ambiance a déjà changé dans les couloirs du Saint-Siège. Certains employés affirment ressentir plus de cohésion. D’autres disent avoir retrouvé le goût de venir travailler.

Le premier « vendredi béni » aura lieu cette semaine. Le menu reste secret, mais le nom du premier intervenant a été dévoilé : sœur Agnès, une religieuse connue pour son action auprès des réfugiés. Un signal fort.

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Avec cette décision, le pape Léon XIV marque une nouvelle étape de son pontificat. Moins médiatique que les grandes réformes, ce geste discret pourrait pourtant laisser une empreinte durable.