Montrer le sommaire Cacher le sommaire
Le décès d’un proche provoque une vague d’émotions intenses. Dans ces moments douloureux, certains gestes paraissent naturels. Embrasser une personne décédée peut sembler être une dernière marque d’amour ou une manière de dire adieu. Pourtant, un médecin tire la sonnette d’alarme. Ce geste, en apparence anodin, peut entraîner un danger réel et souvent ignoré.
Certains rituels funéraires incluent un contact direct avec le défunt. Mais selon plusieurs professionnels de santé, cette pratique comporte un risque sanitaire sous-estimé. Le corps humain, après la mort, ne réagit plus comme celui d’une personne vivante. Il subit des transformations rapides, parfois invisibles à l’œil nu, qui peuvent provoquer des conséquences graves.
Ce que dit la médecine : les risques biologiques bien réels
Dès les premières heures suivant le décès, le corps commence à se décomposer. Cette décomposition s’accompagne de la prolifération de bactéries et de micro-organismes. Ces agents pathogènes peuvent représenter une menace, en particulier lorsqu’un contact direct s’effectue avec la bouche ou le visage du défunt.
Ce matin, j’ai trouvé des marques étranges sur ma voiture. Ce que j’ai découvert m’a glacé le sang !
Ce motard terrifiant a escaladé un balcon pour sauver un chien affamé, un acte courageux qui a ému tout le monde !
Le médecin qui alerte sur ce sujet insiste sur un point : certaines maladies restent actives même après la mort. C’est le cas, par exemple, de certaines infections bactériennes, virales ou parasitaires. Le contact avec les fluides corporels, même minime, suffit parfois à transmettre ces agents pathogènes. Un simple baiser sur les lèvres ou la joue peut devenir un vecteur de contamination.
Ce risque concerne surtout les personnes au système immunitaire affaibli : enfants, personnes âgées, ou malades chroniques. Mais même un adulte en bonne santé peut s’exposer sans le savoir à un agent infectieux latent. Le médecin prévient aussi que certaines pathologies, comme la tuberculose ou certaines hépatites, survivent plusieurs heures, voire plusieurs jours, après le décès.
Un geste symbolique qui peut avoir des conséquences graves
L’aspect émotionnel joue un rôle important. Dans le choc du deuil, les familles cherchent souvent un dernier contact physique. Ce besoin d’intimité face à la perte peut pousser à ignorer les conseils sanitaires. Pourtant, les professionnels du funéraire et les médecins recommandent une prudence absolue.
Une chienne errante met bas : ce que les vétérinaires ont vu les a laissés sans voix
Après la victoire de Donald Trump, beaucoup ont remarqué une anomalie sur cette photo de famille
Il existe d’autres moyens de rendre hommage sans s’exposer. Un mot glissé dans le cercueil, une photo déposée près du corps, une lettre d’adieu… Ces gestes préservent la mémoire du défunt tout en évitant un risque évitable. L’hommage ne nécessite pas toujours un contact direct.
Le médecin à l’origine de cette mise en garde souhaite briser un tabou. Selon lui, beaucoup de familles ne sont pas informées. Les cérémonies se déroulent parfois sans conseils clairs sur les précautions à prendre. Pourtant, quelques règles simples suffisent à réduire le danger.
À lireUn médecin révèle les raisons d’éviter d’embrasser un défuntLes pompes funèbres et les équipes médicales peuvent accompagner les proches avec bienveillance, sans jugement. Leur rôle consiste aussi à protéger les vivants, tout en respectant les rituels de chacun. Prévenir vaut mieux que guérir, surtout dans ces circonstances.
Ce sujet, peu évoqué, mérite une attention particulière. La santé des proches passe aussi par l’information, même dans les moments les plus douloureux.
