J’ai suivi mon mari dans les bois, je pensais qu’il me trompait mais ce que j’ai découvert était bien pire

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• Mon mari gardait un secret que je ne pouvais pas croire
• Il n’était pas seul… et elle me ressemblait

Je ne suis pas une femme jalouse. Mais ce jour-là, quelque chose sonnait faux. Mon mari devait être au travail. Pourtant, je l’ai vu, par hasard, sur le parking d’un supermarché. Il avait changé de voiture. Et ses vêtements, sales, ne ressemblaient en rien à sa tenue de bureau.

Mon cœur s’est serré. Pourquoi mentir ? Pourquoi cet air stressé, comme s’il voulait disparaître ? Je me suis garée discrètement et j’ai décidé de le suivre. La curiosité était plus forte que moi.

Mon mari gardait un secret que je ne pouvais pas croire

Il a quitté la ville, sans se douter que je le suivais. À mesure que nous avancions, le décor devenait de plus en plus rural. Puis, sans prévenir, il a pris un petit chemin de terre. Une route étroite, sans issue visible. Je me suis arrêtée à distance.

Il a garé sa vieille voiture près d’un sentier boisé. Il a regardé autour de lui, puis s’est enfoncé dans les bois. J’ai attendu quelques minutes, le souffle court. Puis j’ai suivi ses traces.

Au bout d’une dizaine de minutes, j’ai vu une cabane. Isolée. Mal entretenue. La porte entrouverte laissait passer une faible lumière. Je me suis approchée lentement, le cœur battant à tout rompre.

Ce que j’ai vu à travers la fenêtre m’a glacé le sang.

Il n’était pas seul… et elle me ressemblait

Mon mari parlait à une femme. Mais ce n’était pas n’importe quelle femme. Elle avait mes cheveux. Mes gestes. Même façon de sourire.

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Pendant une seconde, j’ai cru devenir folle. Était-ce une illusion ? Une sœur jumelle cachée ? Un déguisement ? Non. C’était bien plus étrange. Elle portait mes vêtements. Et dans la pièce, j’ai reconnu des objets disparus de chez nous. Mon foulard préféré. Une photo de nous.

Je ne comprenais plus rien. Mon mari riait avec elle. Il lui parlait doucement, comme à moi. Il lui caressait les cheveux. Comme s’il avait deux vies. Deux moi.

Je suis restée figée. Incapable de faire un pas de plus. Et soudain, j’ai eu peur. Peur de ce que cela signifiait. Peur de comprendre.

J’ai reculé doucement. Puis j’ai couru jusqu’à ma voiture sans me retourner.

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Depuis ce jour, je n’ai rien dit. Je fais semblant. Mais je sais que quelque chose ne tourne pas rond. Ce n’est pas une maîtresse. Ce n’est pas un simple mensonge. C’est bien pire.

Il y a des vérités qu’on ne devrait jamais chercher. J’ai voulu savoir. Maintenant, je vis avec cette image. Mon double. Mon mari. Et cette cabane perdue, que je ne pourrai jamais oublier.