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Au Mexique, Une adolescente de 14 ans a perdu la vie. Son nom : Paloma Nicole Arellano. Elle est décédée le samedi 14 septembre, à Durango, à la suite de complications liées à une opération de chirurgie esthétique.
L’intervention a été pratiquée dans une clinique privée par le compagnon de sa mère. Son père n’était au courant de rien. Aujourd’hui, il accuse ouvertement le médecin, la mère de l’adolescente et la clinique. Pour lui, tous ont agi dans le dos de sa fille.
Le choc est total. Les réseaux sociaux s’emparent de l’affaire. La population locale, elle, réclame justice.
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Une opération dissimulée et une version mensongère
Le 12 septembre, Paloma entre à la clinique privée pour subir une pose d’implants mammaires. L’opération a été réalisée par le docteur Víctor N. D’après les publications du père sur Facebook, la mère de Paloma a donné son accord pour l’intervention. Elle n’a jamais informé le père.
La veille de l’opération, la mère affirme à Carlos Arellano que leur fille a été testée positive au COVID-19. Elle lui dit qu’ils partent dans les montagnes de Durango pour se reposer dans des chalets sans réseau téléphonique.
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Quelques jours plus tard, il reçoit un appel. Sa fille est à l’hôpital. Elle est dans un état grave. La nouvelle le frappe de plein fouet. Il pense d’abord que le COVID en est la cause. Mais la vérité se révèle bien plus tragique.
Paloma a subi une intervention esthétique lourde, sans suivi médical adapté. Son corps n’a pas supporté les suites de l’opération. Elle décède une semaine plus tard.
Le père porte plainte et dénonce publiquement
Carlos Arellano refuse de se taire. Il publie un message bouleversant sur ses réseaux sociaux. Il y accuse directement l’hôpital, le médecin et son ex-compagne. Pour lui, ils ont mis en danger la vie de Paloma de façon consciente.
Il rappelle que sa fille n’était qu’une adolescente. Une enfant, influençable, vulnérable, en quête d’acceptation dans un monde où l’apparence dicte la valeur.
Sa colère s’accompagne d’une demande claire : que justice soit faite. Il dénonce également un système médical complice. Selon lui, aucune clinique ne devrait opérer une mineure pour des raisons esthétiques sans autorisation conjointe des deux parents.
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Pendant ce temps, une famille reste brisée. Un père pleure sa fille. Une mère garde le silence. Et une société entière s’interroge : comment en est-on arrivé là ?
Paloma avait 14 ans. Son histoire rappelle que certaines décisions, prises trop tôt, peuvent avoir des conséquences irréversibles. Derrière ce drame, une réalité dérangeante refait surface : celle des jeunes filles poussées à changer leur corps, quitte à y laisser la vie.
