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Nous pensions rentrer chez nous, reposés et heureux, après deux semaines au bord de la mer. Tout semblait normal à première vue. La maison était intacte, le jardin bien vert. Mais en approchant de l’allée principale, quelque chose nous a frappés immédiatement : le grand chêne, planté par l’arrière-grand-père, n’était plus là.
Après deux semaines de vacances, nous ne nous attendions qu’à retrouver notre maison paisible. Mais dès l’entrée dans le jardin, un détail nous a glacé : notre arbre centenaire n’était plus là. Ce chêne faisait partie de la famille depuis des générations. En cherchant à comprendre, nous avons mis au jour une vérité dérangeante.
Un choc brutal en rentrant à la maison
Cet arbre ne représentait pas seulement un élément du paysage. Il portait en lui une mémoire familiale, des moments partagés, des photos de générations entières. Il offrait de l’ombre pendant les étés brûlants et protégeait du vent en hiver. Surtout, il avait traversé les décennies, solide, majestueux.
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Mais là, il ne restait qu’un vide étrange. À sa place : de la terre retournée, quelques copeaux, et une large trace circulaire dans l’herbe. Personne ne nous avait prévenus. Aucun mot, aucun message. L’émotion est montée rapidement. D’abord la surprise, puis la tristesse, et enfin la colère.
Sans attendre, nous avons consulté les images des caméras de surveillance installées à l’entrée du terrain. La date était claire. Trois jours avant notre retour, un camion est arrivé en plein après-midi. Trois hommes sont descendus, casques sur la tête, tronçonneuses en main. En moins de deux heures, l’arbre avait disparu.
Une erreur qui laisse des traces profondes
Nous avons contacté la mairie. Ils n’avaient autorisé aucun abattage sur notre propriété. Personne ne savait rien. Les services de voirie n’étaient pas intervenus non plus. Tout indiquait qu’il s’agissait d’une erreur d’entreprise ou d’un acte volontaire.
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Après quelques recherches, nous avons trouvé une société d’élagage opérant dans la région cette semaine-là. Leur standard nous a confirmé une intervention… mais pas à notre adresse. Une inversion de numéro, un malentendu ? Possible. Mais les conséquences, elles, sont irréversibles.
Cet arbre n’était pas qu’un simple tronc de bois. Il faisait partie de notre quotidien, de notre histoire. Le voir tomber, sans notre accord, sans explication, nous a profondément affectés. Et aucune compensation financière ne pourra remplacer ce lien émotionnel unique.

Nous avons décidé de lancer une procédure. Pas seulement pour obtenir réparation, mais aussi pour éviter que cela ne se reproduise ailleurs. Car ce genre d’erreur peut briser bien plus qu’un paysage. Il brise un attachement, un symbole, un héritage.
