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La scène musicale mondiale vient de perdre une icône incontournable. Le chanteur D’Angelo, connu pour sa voix envoûtante et son style unique mêlant soul, R&B et funk, s’est éteint à l’âge de 51 ans. Après une longue lutte contre un cancer du pancréas, l’artiste a rendu son dernier souffle dans sa maison à New York, entouré de ses proches.
D’Angelo, de son vrai nom Michael Eugene Archer, a marqué les années 90 et 2000 avec des titres comme Brown Sugar, Untitled (How Does It Feel) ou encore Lady. Plus qu’un simple chanteur, il représentait une âme sensible, capable de transmettre des émotions brutes à travers chaque note. Sa disparition crée un vide profond dans le cœur de ses fans, mais aussi dans l’industrie musicale, qui perd l’un de ses talents les plus sincères et avant-gardistes.
Une carrière marquée par le talent pur et la sincérité
Dès son premier album Brown Sugar, sorti en 1995, D’Angelo impose un style nouveau. Il ne copie personne. Et Il crée. Il ose. Il redonne vie à la soul, en la réinventant à sa façon. Grâce à son authenticité, il séduit un public large, bien au-delà des frontières du R&B traditionnel.
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Avec Voodoo, son deuxième album, il atteint un sommet artistique. Ce projet, salué par la critique, lui vaut plusieurs Grammy Awards, dont celui du Meilleur Album R&B. Chaque morceau respire la liberté, la sensualité, mais aussi la douleur et l’introspection. Rien n’y est superficiel. Chaque parole pèse. Chaque silence parle.
Pendant plusieurs années, D’Angelo disparaît de la scène. Il affronte des problèmes personnels, lutte contre ses démons, mais ne renonce jamais à la musique. En 2014, il revient avec Black Messiah, un chef-d’œuvre engagé, puissant, presque prophétique. Ce dernier projet confirme son statut de légende vivante.
Un artiste rare, une perte immense
D’Angelo ne faisait pas de compromis. Il refusait les règles de l’industrie, préférait le silence au bruit médiatique. Ce choix, souvent incompris, renforçait l’aura mystérieuse qui l’entourait. Il ne chantait pas pour vendre. Il chantait pour dire quelque chose de vrai.
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Aujourd’hui, ses fans pleurent plus qu’un chanteur. Ils pleurent un homme qui les a accompagnés dans leurs joies, leurs douleurs, leurs amours. Son style influencera encore des générations. On entendra son empreinte chez de nombreux artistes contemporains qui, grâce à lui, ont osé chanter avec leur cœur plutôt qu’avec des calculs.
Le combat qu’il a mené contre la maladie reflète sa vie entière : discret, digne, sans bruit. Il laisse derrière lui une œuvre dense, sincère et vibrante. Ses chansons ne vieilliront pas. Elles resteront gravées dans la mémoire collective, comme des éclats d’âme.
À lireUn virement de 277 euros arrive cette semaine : qui va recevoir le chèque énergie 2025 ?D’Angelo ne revient plus sur scène, mais sa musique continue de résonner. Dans les clubs, dans les casques, dans les souvenirs. La lumière s’est éteinte sur un artiste rare. Mais sa voix, elle, ne s’éteindra jamais.
