“S’il n’y a plus ça, je suis foutu” : la confession bouleversante d’Enrico Macias

  Enrico Macias confie que sans la musique, il serait perdu. À 84 ans, il prouve que la passion ne vieillit jamais.

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À 84 ans, Enrico Macias garde intacte la flamme qui l’anime depuis plus d’un demi-siècle : la musique. Dans une récente interview accordée à Sud Ouest, le chanteur s’est livré sans détour. Sa phrase, “S’il n’y a plus ça, je suis foutu”, résonne avec une sincérité désarmante. Elle traduit un lien profond entre l’artiste et la scène, un lien qu’il refuse de rompre.

Dès les premières minutes de l’entretien, son regard s’illumine lorsqu’il parle de ses concerts. Pour lui, la scène n’est pas un lieu, mais une respiration. Sans elle, il se sent incomplet. C’est pourquoi il ne songe pas à la retraite, malgré l’âge ou la fatigue. Il veut continuer tant que son cœur bat au rythme de la musique.

Un amour de la scène qui ne s’éteint jamais

Depuis plus de soixante ans, Enrico Macias chante avec la même intensité. Ses spectacles, toujours remplis d’énergie, attirent encore un public fidèle. Et pour cause : chaque chanson devient un moment de partage sincère. De plus, il ne se contente pas d’interpréter des titres connus, il y met toute son âme.


Au fil des décennies, il a connu les triomphes et les blessures. Pourtant, il s’est toujours relevé. Grâce à la musique, il a surmonté les épreuves, les critiques et les deuils. En effet, chanter reste pour lui la plus belle façon de transformer la douleur en beauté. Par ailleurs, son engagement pour la paix et la fraternité a donné à son œuvre une dimension universelle.

Aujourd’hui encore, lorsqu’il monte sur scène, il sent cette même émotion qu’à ses débuts. “Quand je chante, je redeviens vivant.” Cette phrase résume son état d’esprit. Pour Enrico Macias, arrêter de chanter reviendrait à s’éteindre. Ainsi, il refuse de céder à l’âge ou au doute. Chaque note, chaque applaudissement, nourrit son âme d’artiste.

“Sans la musique, je meurs” : un message fort et sincère

La déclaration “S’il n’y a plus ça, je suis foutu” ne relève pas de la nostalgie. Bien au contraire, elle symbolise une passion toujours brûlante. Même après des décennies de carrière, Enrico Macias garde une énergie contagieuse. Par conséquent, il continue à préparer de nouveaux projets musicaux, convaincu que la création le maintient en vie.

En réalité, la musique représente plus qu’un métier : c’est une mission. Grâce à elle, il se sent utile et connecté au monde. De plus, son message de tolérance et d’amour résonne encore aujourd’hui avec une force particulière. Et ce n’est pas un hasard si plusieurs générations connaissent par cœur ses chansons.

Son public le suit, car il reste authentique. Il ne triche pas. Chaque mot, chaque regard, exprime une vérité simple : chanter, c’est exister. Tant qu’il pourra tenir un micro, Enrico Macias continuera à transmettre cette énergie lumineuse.

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En définitive, son cri du cœur rappelle à chacun que la passion ne vieillit pas. Elle se transforme, se renforce et éclaire la route. Enrico Macias, lui, avance toujours, porté par une certitude : tant qu’il y aura la musique, il tiendra debout.


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