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Les achats en ligne ont facilité notre quotidien de bien des manières. Cela nous procure une expérience rapide, accessible, mais aussi… risquée ! Les arnaques numériques ne cessent de se multiplier. Et elles peuvent cibler aussi bien les entreprises que les consommateurs. Plus de détails dans ces quelques lignes !
Ce type d’arnaque bien pensé !
Le vol à l’étage est une arnaque courante dans les supermarchés physiques. Cela consiste à prendre des articles et franchir la porte des magasins sans les payer. Les malfaiteurs ont d’ailleurs une bonne préparation pour ce type de mission. Avec leurs techniques sophistiquées, la plupart d’entre eux s’en tirent facilement !
Ce qu’il faut savoir sur les arnaqueurs, c’est qu’ils sont de plus en plus ingénieux. Preuve que ces dernières années, les escroqueries numériques abondent. Le vol à l’étalage aux cartes de crédit volées est d’ailleurs l’une des plus fréquentes. Comme son nom l’indique, les malfaiteurs usent du compte d’autrui pour régler leurs courses.
Mais comment peuvent-ils mettre la main sur votre carte de crédit ? Eh bien, ils utilisent des méthodes frauduleuses comme le phishing pour récupérer les données. Ils créent ensuite une copie de la carte pour procéder aux transactions ! Un achat qui sera d’ailleurs réalisé par des faux profils. Histoire de brouiller toutes les pistes !
Ce type d’arnaque fait de nombreuses victimes. Et pour cause, beaucoup de magasins ne disposent pas d’un système de sécurité avancé pour détecter les fraudes. Il n’y a que les dégâts qui restent, comme les paiements fantômes qui se passent sur votre compte !
Des robots spammeurs
Le vol à l’étalage peut être réalisé avec d’autres méthodes. Notamment l’utilisation de robots spammeurs. Ces derniers sont sollicités pour effectuer des achats en masse dans les magasins en ligne. Cela, avec une vitesse que les systèmes de sécurité traditionnels ne peuvent suivre.
Cette arnaque automatisée vise surtout à provoquer une perturbation, voire une pénurie, du marché. Avec ces robots, les malfaiteurs visent les produits populaires et limités. L’idée est de les acheter pour ensuite les revendre à des prix plus hauts. Des revendeurs beaucoup trop gourmands donc.
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Ce type d’escroquerie cible avant tout les petites entreprises, dont les stocks sont plus limités. De plus, le système de sécurité de ces dernières est souvent fragile par rapport à celui des géants tels qu’Amazon ou eBay. Une lacune qui vient souvent d’un manque de ressources. C’est pourquoi ces magasins sont plus susceptibles de se faire avoir par les fraudes numériques.
Quelles mesures de sécurité pour se protéger de cette arnaque ?
Les entreprises, tout comme les consommateurs, doivent agir avec plus de prudence. Les consommateurs doivent notamment renforcer la sécurité de leur carte. Des réflexes essentiels comme ne pas cliquer sur des liens suspects peuvent leur permettre de se protéger des attaques de phishing.
Pour les boutiques en ligne, il faudra compter sur des systèmes de paiements plus sécurisés. Certaines plateformes de paiements proposent des fonctions pensées à cet effet. C’est notamment le cas de Paypal dont les transactions passent par une vérification de l’identité. De quoi prévenir les paiements frauduleux !
Les petites entreprises physiques doivent également engager plus de personnels pour faire une veille des rayons. L’objectif est de pouvoir étudier et observer les comportements des consommateurs avec attention. De quoi repérer les individus suspicieux avant qu’ils ne causent des dégâts. Comme voler les produits sans les payer !
