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Qui ne rêve pas de conserver un esprit agile et vif, une bonne mémoire et la même lucidité que toujours au fil des années ? Suivre une alimentation saine, éventuellement dès le plus jeune âge, protège également les facultés mentales pour garder le cerveau en bonne santé.
Pour garder votre cerveau en forme, il est important non seulement de l’utiliser, mais aussi de le nourrir correctement. Voici les trois boissons que les neurologues recommandent d’arrêter de boire pour maintenir la santé cérébrale.
L’importance de la santé mentale
Lorsque nous pensons à notre santé, nous privilégions souvent la santé physique à la santé mentale. En effet, nous nous concentrons sur notre cœur ou notre estomac avant de penser à notre cerveau.
Quand il s’agit de prendre soin de nous, la nutrition et l’exercice sont, en général, en tête de liste. Il est rare que nous considérions leur impact sur la santé cérébrale. Toutefois, nous avons de plus en plus conscience de cet aspect. Donc, il est temps de trouver des moyens de préserver notre cerveau !
Anticiper ces problèmes peut aider à éviter qu’ils ne s’aggravent, même si parfois cela reste inévitable. Lorsque nous sommes inquiets pour notre santé, il est sage de consulter un spécialiste avant de modifier nos habitudes.
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Parfois, un changement de routine s’impose, voire nécessite un traitement médical. Cependant, il existe de nombreuses actions préventives que nous pouvons adopter pour protéger la santé de notre cerveau. De petites habitudes, comme renoncer à certaines boissons, peuvent faire une grande différence, comme le suggèrent les experts en neurologie.
Quelles sont donc ces 3 boissons ?
Tout ce que nous ingérons, aliments ou boissons, a un impact sur le fonctionnement de notre cerveau. Et ce, tant à court qu’à long terme. Le Dr Joel Salinas, neurologue cognitivo-comportemental et directeur médical d’Isaac Health à NYU Langone Health, le confirme d’ailleurs dans le magazine Parade.
Ainsi, notre alimentation influence non seulement notre corps, mais aussi notre cerveau. « Notre cerveau est un organe qui nécessite beaucoup d’énergie. Et il dépend d’un apport constant de nutriments pour bien fonctionner », précise le Dr Joel Salinas.
Certaines boissons apportent des nutriments bénéfiques. Tandis que d’autres doivent être évitées car elles peuvent être nuisibles, en favorisant l’inflammation et le stress oxydatif.
1. Jus de fruits
Des chercheurs de l’Université de Boston ont identifié les jus de fruits comme nuisibles pour le cerveau. Ils favoriseraient, en effet, le vieillissement du cerveau et le développement précoce de la maladie d’Alzheimer.
Selon une étude dans Alzheimer & Dementia, l’hippocampe est particulièrement vulnérable à cause de la forte teneur en sucre ajouté. Il n’est pas nécessaire d’arrêter complètement, mais un verre par jour sans sucre ajouté est suffisant, de préférence naturel.
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Le Dr Mill Etienne, neurologue, recommande de consommer des fruits entiers. Ils apportent des sucres naturels et des fibres, favorisant ainsi une meilleure santé intestinale.
2. Boissons légères sans alcool
Les boissons gazeuses légères contiennent moins de sucre que les versions classiques. Cependant, cela ne les rend pas meilleures pour le cerveau.
Des études montrent que la consommation régulière de ces boissons avec des édulcorants artificiels augmente le risque de démence et d’accidents vasculaires cérébraux. Cela pourrait être relatif à l’intolérance au glucose, qui accroît le risque de diabète, un facteur de démence.
3. Le Vin
Nous entendons souvent dire qu’un verre de vin rouge par jour peut être bénéfique pour la santé. Cependant, les neurologues sont sceptiques quant à cette recommandation. Nombre de recherches révèlent qu’il existe de meilleures façons d’obtenir ces bienfaits.
Certaines études suggèrent qu’une consommation modérée peut réduire le volume du cerveau. Et notamment dans les zones relatives à la cognition. De plus, le vin peut perturber la régulation des neurotransmetteurs. Cela peut alors entraîner des problèmes de réflexion, des troubles du sommeil, des migraines et des problèmes de coordination. De plus, cela peut provoquer des sautes d’humeur, augmentant alors les sentiments de dépression, d’anxiété et de colère.
