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La relation entre l’animal et son propriétaire a évolué de manière considérable au cours des dernières décennies. De plus en plus de personnes sont désormais conscientes de l’importance d’un animal de compagnie pour améliorer leur qualité de vie, et cela est particulièrement vrai pour les personnes âgées et celles qui vivent seules.
Il existe des preuves solides que posséder un animal de compagnie peut offrir de nombreux avantages pour la santé mentale. Et surtout pour les personnes de plus de 65 ans. Selon les experts, un animal, en particulier, pourrait fortement aider nos ainés. Découvrez lequel dans les lignes de cet article.
L’animal de compagnie idéal pour les personnes de plus de 65 ans : un allié contre le stress
Bien que les chiens soient souvent considérés comme les meilleurs amis de l’homme, ils ne conviennent pas toujours parfaitement au mode de vie des seniors. Les chats, en revanche, représentent une option idéale pour ceux qui souhaitent une présence affectueuse sans avoir à fournir beaucoup d’efforts physiques.
L’un des grands atouts des chats est leur grande autonomie. Selon le site Dedicae, « Un chat peut rester seul à la maison sans souci ». Et c’est un animal de compagnie qui n’a pas besoin de promenades quotidiennes. Ce qui est particulièrement pratique pour les personnes à mobilité réduite.
De plus, le chat est un animal de compagnie propre et tranquille. Il s’adapte facilement à la vie en espace restreint. Certaines races comme le Birman, le Persan ou le Ragdoll sont célèbres pour leur tempérament doux et paisible. Ils font donc d’excellents amis pour les seniors.
Au-delà de leur simplicité d’entretien, les chats apportent une présence chaleureuse et réconfortante. Leur ronronnement a un effet apaisant. Et enfin leur compagnie peut contribuer à instaurer un sentiment de sérénité.
Les bienfaits de vivre au contact d’un felin
Depuis toujours, comme en témoigne l’histoire, le chat figure parmi les animaux de compagnie les plus populaires et appréciés. Sa popularité s’explique notamment par son indépendance, qui, tout en étant affectueuse, le rend moins exigeant en soins en comparaison au chien.
De plus, cet animal de compagnie possède un pouvoir mystérieux mais indéniable qu’il exerce sur la santé humaine. La présence d’un chat peut avoir des effets positifs sur le corps et l’esprit.
Par exemple, le simple fait de caresser sa fourrure peut réduire le stress en stimulant la production d’endorphines. Ce qui diminue le taux de cortisol et atténue ainsi l’anxiété. D’autres bénéfices, que de plus de recherches scientifiques confirment, viennent également renforcer cette idée.
Ils diminuent la sensation de solitude :
Partager votre quotidien avec un animal de compagnie apporte beaucoup de compagnie. Les chats aident à atténuer le « syndrome du nid vide ». Un phénomène qui affecte de nombreux seniors lorsque les enfants quittent le foyer.
Ils aident à combattre la tristesse et la dépression :
Il est scientifiquement prouvé que vivre avec un animal de compagnie aide à combattre la tristesse ou des maladies comme la dépression. En effet, des activités aussi simples que le caresser aident à libérer de la sérotonine, l’hormone du bonheur. De plus, pour les seniors, retrouver un sentiment d' »utilité » en s’occupant d’un animal de compagnie est un grand incitatif pour elles. Car, elles peuvent souvent se sentir mises à l’écart et peu utiles.
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Un animal de compagnie nécessite beaucoup d’attention et de soins. Mais dans ce cas, lorsqu’un senior s’occupe d’un animal, il prend également soin de lui même.
Les bienfaits du ronronnement
Plusieurs études ont montré que le ronronnement des chats, lorsque nous les caressons, provoque une libération d’endorphines chez les félins. Et, par conséquent, chez leurs proches.
Ces molécules, en plus de favoriser la baisse du cortisol, favorisent la baisse de la tension artérielle, comme le démontre une étude australienne, avec une plus grande relaxation de l’organisme.
En ce qui concerne le système cardiovasculaire, une étude qui a débuté en 2009 et qui a duré pendant 20 ans auprès de plus de 4.</strong> 000 personnes a révélé que les propriétaires de chats sont moins susceptibles de mourir d’un accident vasculaire cérébral ou d’ une crise cardiaque que ceux qui n’en possèdent pas.
Ces derniers auraient 40 % de risque supplémentaire de souffrir d’une crise cardiaque. Et 30 % de risque supplémentaire de contracter une maladie cardiovasculaire, en comparaison aux propriétaires de chats.
